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Maladie d’Alzheimer et échec: quelles relations?

Posted on 01/07/202004/05/2019 by Lucien

Engendrant de façon progressive une altération irréversible des facultés de la mémoire et cognitives, la maladie d’Alzheimer ne connaît pas à l’heure actuellement de traitement. À tout le moins, il existe des méthodes préventives de celle-ci permettant de réduire au maximum son développement. Au nombre de ces solutions grâce auxquelles on peut prévenir efficacement la maladie d’Alzheimer, figure la pratique du jeu des échecs. Découvrez dans cet article comment en jouant aux échecs on peut diminuer le risque que se développe la maladie d’Alzheimer.

Le jeu d’échecs : une activité à pratiquer régulièrement pour prévenir efficacement la maladie d’Alzheimer

Au même titre que la peinture, le chant et bien d’autres encore, le jeu d’échecs fait partie des activités dites stimulantes. Et la pratique régulière de celles-ci constitue un moyen efficace de prévention de la maladie d’Alzheimer. En matière d’éducation, les vertus du jeu d’échecs sont unanimement reconnues de tous. Et possédant toutes les particularités d’une activité de loisir stimulante, il est par conséquent un outil de prévention de la maladie d’Alzheimer.

Par le jeu d’échecs, on exerce à l’amélioration de la capacité de sa mémoire notamment visuelle ou encore à une parfaite maîtrise de sa pensée. C’est l’une des raisons pour lesquelles les études réalisées auprès de personnes pratiquant régulièrement de telles activités présentent un faible risque de développer plus tard la maladie d’Alzheimer. Les personnes qui ne voudraient donc pas souffrir de cette pathologie dont il n’existe pas encore de traitement doivent donc s’intéresser au jeu d’échecs afin de la prévenir.

Et cela ne devrait pas être un problème dans la mesure où ses règles sont simples et que son apprentissage est possible à tout âge. Aussi bien un enfant de 5 ans qu’un adulte peut facilement apprendre le jeu d’échecs dont le rôle dans la prévention du risque de développement d’une maladie comme Alzheimer n’est plus à démontrer.

Comment jouer aux échecs peut concrètement réduire le risque de développement d’Alzheimer ?

S’il n’existe plus de doute sur le fait que sa pratique réduit de manière considérable le risque de développement ou d’apparition de la maladie d’Alzheimer, on peut se demander comment cela est possible concrètement. Il faut dire que jouer aux échecs est un moyen très intéressant et d’une grande efficacité pour exercer son cerveau et le maintenant en pleine forme.

Jeu passionnant au cours duquel les personnes qui le pratiquent vivent des aventures incroyables en termes d’émotions et de maîtrise de sa pensée, il est connu pour son rôle déterminant dans le renforcement de leurs compétences. De façon concrète, on fait travailler le cerveau grâce au jeu d’échecs en réalisant de nombreux petits exercices. Ce qui permet in fine de maintenir en très bonne forme. En jouant au jeu d’échecs, on exerce son cerveau à deux niveaux au moins. Pratiquer cette activité stimulante a des bienfaits énormes sur la capacité de concentration et la mémoire. C’est pour cette raison que jouer aux échecs c’est joindre à l’agréable l’utile.

Comme on peut le constater, les bienfaits du jeu d’échecs en matière de prévention de la maladie d’Alzheimer sont multiples. Mais à côté de cette activité de loisir, il en existe plusieurs autres qui ont un effet positif sur le mental et donc efficace pour réduire le risque d’apparition d’Alzheimer.

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